Je dédie cette larme et beaucoup d'autres encore
à celui qui a fait..... que je suis.
A celui qui me manque, et dont la vie
fut : Amour, dépassement, ennui.
Je dédie ces larmes à l'homme
qui m'as tout donné.... mais à qui
je n'ai pu rendre, ne serait-ce le millième
de sa noblesse infinie.
Je dédie ces larmes et me dis que peut-être,
quand à mon tour, j'aurais usé le temps imparti,
le reverrais- je celui,
qui fut mon maître, mon gardien.... mon ami.
k.T / (à S.R)